Titre : |
Blowin' in the past |
Type de document : |
enregistrement sonore musical |
Auteurs : |
Jean-Jacques Milteau |
Editeur : |
Chant du monde |
Année de publication : |
compil. P 2012 |
Importance : |
2 C-D |
Accompagnement : |
1 Digipack + 1 Livret |
ISBN/ISSN/EAN : |
3149024217623 |
Note générale : |
Blues, bluegrass, country-folk..
Réédition de quatre albums : "L'Harmonica, collection spécial instrumental" (E1973)(CD1 Titres 1-10), "L'Herbe bleue" avec New bluegrass connection (E1974)(CD1 Titres 11-21), "Blues harp" avec Mojjo (1980)(CD2 Titres 1-10), "Just kiddin'" avec Mauro Serri (1983)(CD2 Titres 11-21)
Nombreux musiciens détaillés sur le livret |
Résumé : |
"Le Chant du Monde réédite sous forme de coffret ce que notre harmoniciste national-international Jean-Jacques Milteau a précédemment enregistré chez lui. Ici, le CD 1 reprend le vinyle l’Harmonica LDX 74524, paru dans la collection Spécial Instrumental, ainsi que L’Herbe Bleue LDX 74565, où il jouait avec son New Bluegrass Connection. Sur le premier, avec Christian Lancry à la guitare et Laurent Gérôme à la pedal-steel guitar, Jean-Jacques Milteau (on dira JJM pour faire plus court) essaie déjà de montrer diverses facettes de l’harmonica, capable de jouer du blues aussi bien que des square-dances, autrement dit des quadrilles. A noter un « Orange Blossom Special » de derrière les fagots. Sur le deuxième, on est carrément dans du bluegrass, mais là aussi, avec des accentuations nord-louisianaises, texanes, arkansiennes, tennessiennes, selon les morceaux. Le CD 2, lui, reprend le vinyle Blues Harp, où il jouait avec son Mojjo, si j’ose dire, dans lequel on remarquait notamment, outre Eric Kristy (g) qu’on avait déjà entendu dans les deux vinyles précédents, Pierre Fanen et Mauro Serri, ainsi que le tromboniste Jacques Bolognesi, en rupture d’accordéon pour cause de yé-yé dominant. Il reprend aussi l’album Just Kiddin’ où JJM, toujours avec Mauro Serri (g) et d’autres musiciens qui, comme précédemment, viennent des orchestres de Bill Deraime et d’Eddy Mitchell, sauf le célébrissime chanteur Ducky Smokton, sur un seul titre, hélas, « Going Back to NYC », se permet de jouer « True Duke » qui ne peut pas être un adieu à quelque président sortant que ce soit, puisqu’il date de 1983. Ces quatre vinyles, difficilement trouvables en bon état aujourd’hui datent d’avant 1983, une époque où JJM était surtout vendeur de disques à la FNA? non, je ne l’ai pas dit. Et où il était, à ses moments perdus, directeur artistique d’Eddy Mitchell... / Pierre Stemmelin" (www.on-mag.fr) |
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